juillet 28th, 2017

– 28 juillet 2017 –

Musique –

Le streaming rapporte plus aux éditeurs de musique que les CD

 

 

Mode –

Zoom sur 9 créateurs éco-responsables

Depuis quelques années, créateurs et maisons usent de leurs auras créatives comme moyen d’engagement et d’expression. L’écologie, la cause animale, la survie de la planète au sens large… Tous proposent, dans leurs collections, une nouvelle manière de consommer la mode. De Stella McCartney et son cuir alter aux manifestes de Vivienne Westwood en passant par l’abandon total de la fourrure chez Giorgio Armani… Zoom sur ces créateurs qui s’engagent pour faire bouger les choses.

http://www.vogue.fr/mode/inspirations/diaporama/mode-ethique-zoom-createurs-eco-responsables-eco-friendly-ecologie-stella-mccartney-vivienne-westwood-giorgio-armani/44883

 

 

Cinema –

Le Sénat veut assouplir la chronologie des médias

La commission de la Culture du Palais du Luxembourg a proposé une liste de nouvelles mesures pour faire évoluer la diffusion des films après leur sortie en salles.

Une liste de mesures pour faire évoluer la diffusion des films après leur sortie au cinéma. Ce jeudi, la commission de la Culture du Sénat, présidée par Catherine Morin-Desailly, a proposé de modifier les règles de diffusion des longs-métrages à la télévision et sur internet. Selon la présidente de la commission, l’actuelle chronologie des médias serait devenue « obsolète » face au piratage et aux plateformes telles que Netflix ou Amazon.

http://www.ozap.com/actu/cinema-le-senat-veut-assouplir-la-chronologie-des-medias/533202

 

 

Exposition –

Trésors de l’Islam en Afrique : l’exposition où l’art convoque l’Histoire

Incontournable. C’est une exposition qu’il ne faut pas rater : « Les Trésors de l’Islam en Afrique » à l’Institut du monde arabe. Ouverte au public depuis le 14 avril (jusqu’au 30 juillet), elle met à l’honneur, treize siècles d’histoire aussi passionnante que méconnue entre l’Islam et le continent africain au sud du Sahara.

Un projet longuement mûri

La meilleure réponse aux intégristes se trouve à l’Institut du monde arabe plaide volontiers Nala Aloudat, commissaire de l’exposition « Trésors de l’Islam en Afrique, de Tombouctou à Zanzibar » à l’IMA. Car, en effet, il s’agit pour ce lieu exceptionnel, temple de la culture arabe, d’aborder un sujet inédit. Derrière cette grande galerie en marbre, aussi épurée que chargée d’une atmosphère particulière, la responsable de cette exposition, a la lourde tâche d’ouvrir le débat sur la place de l’Islam dans l’art. Aussi paradoxale que cela puisse paraître, cette problématique est souvent exclue des arts d’Afrique subsaharienne. Comme un tabou, le continent africain est presque toujours absent des collections d’art islamique. Pourquoi ? À cause des préjugés qui dominent encore aujourd’hui. Alors que l’Islam sort peu à peu d’une longue léthargie pour reconquérir sa place sur l’échiquier des grandes civilisations. Mais pour autant, l’institution ne veut pas faire de plaidoyer et préfère dire les choses : « Le véritable élément déclencheur du projet, c’est la situation que connaissent certains pays africains avec la présence de djihadistes radicaux sur leur territoire qui remet en cause des siècles de tradition de l’islam en Afrique » assène avec force Nala Aloudat, lors du lancement de l’exposition.

« C’est seulement à partir du XVIIIe siècle qu’il y a eu les premiers djihads », explique la co-commissaire de « Trésors de l’Islam en Afrique », Hanna Boghanim, devant de rares manuscrits du XIIe siècle des mausolées de Tombouctou (Mali), pour la plupart sauvés in extremis de la destruction lors de l’arrivée des islamistes en 2012. La diffusion de l’islam « s’est d’abord faite par les marchands égyptiens venus du monde arabo-musulman », précise la co-commissaire. « Ce fut un processus d’appropriation lent au cours duquel les populations ont fait le choix de se convertir à cette religion » dans une zone qui s’étend de l’est et du sud du Soudan au Zimbabwe, et de l’ouest du Mali à la RDC et au Congo.

http://afrique.lepoint.fr/culture/tresors-de-l-islam-en-afrique-l-exposition-ou-l-art-convoque-l-histoire-27-07-2017-2146352_2256.php

 

Une exposition d’oeuvres d’Annie Leibovitz en péril

Le Musée des beaux-arts de la Nouvelle-Écosse se dit «extrêmement déçu» du rejet de sa demande visant à présenter une collection de photos de la célèbre photographe américaine Annie Leibovitz.

Le porte-parole Colin Stinson se dit en désaccord avec la décision d’une commission canadienne de ne pas accorder aux images la certification de «propriété culturelle» ayant une signification importante.

Ce refus de la Commission canadienne d’examen des exportations de biens culturels réduit les possibilités que le musée néo-écossais puisse organiser une exposition des oeuvres de la photographe.

http://www.lapresse.ca/arts/arts-visuels/201707/27/01-5119786-une-exposition-doeuvres-dannie-leibovitz-en-peril.php

 

 

Arts visuels –

Al Pacman donne vie au mobilier urbain

La première tâche du graffeur Al Pacman est d’habiller les bornes de tri sélectif. Un travail artistique qu’il a débuté vendredi matin.

Le peintre décorateur Al Pacman est en résidence décorative, art mobilier urbain avec la Carl (communauté d’agglomération de la Riviéra du Levant). Il est notamment chargé par celle-ci « d’habiller » les bornes de tri de manière artistique.
L’artiste aux multiples talents, décorateur, graphiste et peintre n’est plus à son coup d’essai pour donner vie aux objets les plus récalcitrants. Il faut dire que l’artiste à l’art de transformer et rendre beau tout ce qu’il touche. Sensible, il l’est. Visionnaire, assurément. Sur le port de pêche de la cité balnéaire, entre deux bacs de réception et de stockage de produits, Al Pacman et ses graffitis habillent le mobilier urbain de la zone. Les couleurs, comme les traits, sont le reflet du petit village de pêcheur, histoire de créer une véritable harmonie.

http://www.guadeloupe.franceantilles.fr/actualite/societe/al-pacman-donne-vie-au-mobilier-urbain-440669.php

 

 

Quelle est cette oeuvre de street art dans le bureau de Macron ?

A l’occasion de la visite du chanteur Bono à l’Elysée, on a découvert que le président avait fait accrocher une oeuvre du célèbre street artiste Obey qui orne déjà un mur géant d’une HLM du XIIIe.

L’Elysée est-elle une succursale du XIIIe arrondissement de Paris ? Emmanuel Macron s’inspire-t-il de Jérôme Coumet grand fan de street art ? La question s’est glissée malicieusement sur Twitter sous la forme d’une photo. Elle n’a pas échappé au maire socialiste du XIIIe qui s’en est fait des gorges chaudes et l’a retweetée illico presto.

http://www.leparisien.fr/paris-75005/paris-emmanuel-macron-s-inspire-t-il-du-maire-socialiste-du-xiiie-27-07-2017-7160553.php

 

1917 : après la guerre, l’art

Après la guerre, l’art. En 1914, la plupart des artistes partent à la guerre comme tout homme en âge de la faire. Mais chacun d’entre eux en a représenté sa vision. 100 ans plus tard, il est clair que ces artistes-là ont bien été une rupture dans l’histoire de l’art. L’ambulancier, Christopher Nevinson a connu l’angoisse de ces bombardements, en témoigne ses visions abstraites, géométriques.

http://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/metiers/art-culture-edition/1917-apres-la-guerre-l-art_2303815.html



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