juillet 31st, 2017

– 31 juillet 2017 –

Musique –

Jazz in Marciac : Dee Dee Bridgewater chante Memphis

La chanteuse américaine Dee Dee Bridgewater est la tête d’affiche du festival Jazz in Marciac dimanche soir. Elle y présente en avant-première son nouvel album « Memphis » qui sortira en septembre. Dee Dee Bridgewater est une habituée du festival gersois. Franceinfo l’a rencontrée.

Elle est avec le trompettiste américain Wynton Marsalis une assidue de Jazz in Marciac. Elle y chantera, dimanche 30 juillet, pour la douzième fois. Dee Dee Bridgewater a fait ses premiers pas à Marciac en 1988. Une étape importante dans sa carrière, explique-t-elle : « A cette époque, je n’avais pas fait énormément de festivals. J’avais commencé à faire des petits théâtres de 200 ou 300 places. Alors quand j’ai eu le festival de Marciac, c’était quelque chose d’énorme. »

http://www.francetvinfo.fr/culture/musique/jazz-in-marciac-dee-dee-bridgewater-chante-memphis_2306663.html

 

 

Cinema –

« Les Mains au cinéma » : le livre qui vous fait voir les films autrement

De Tim Burton à Martin Scorsese, en passant par François Truffaut, Jean-Luc Godard, Stanley Kubrick, Fritz Lang, Claude Chabrol ou Claire Denis, (re)voyez certains des films de grands cinéastes d’un autre oeil grâce au livre de Sandrine Marques.

Si Quentin Tarantino fait une fixation sur les pieds, d’autres réalisateurs sont nettement plus portés sur les mains. Et beaucoup plus qu’on ne le croit au premier abord. Il y a bien sûr Charles Laughton et les phalanges tatouées de Robert Mitchum dans La Nuit du chasseur ou le Pickpocket de Robert Bresson, qui ont tous deux une place de choix dans le livre de Sandrine Marques (la couverture et une partie de l’introduction pour l’un et un chapitre entier pour l’autre). Et il sont bien entourés.

C’est ainsi que Le Voleur de bicyclette et Gilda sont réunis par l’affiche du film avec Rita Hayworth et ses célèbres gants, que Freddy Krueger et Edward aux mains d’argent combinent des griffes et la présence de Johnny Depp au casting, ou que les cinémas d’Alfred Hitchcock, Claude Chabrol et Fritz Lang se rejoignent comme les doigts de la main dans leur rapport au crime. Citons également la perversité de Lolita, ou les parallèles manuels de Heat, parmi les chapitres de ce livre qui nous offre un autre point de vue sur des longs métrages que certains connaissent par coeur.

http://www.allocine.fr/article/fichearticle_gen_carticle=18666107.html?nopub=1

 

 

Residence artistique –

LES ARDENNES, LABORATOIRE ÉCOLO-ARTISTIQUE

Pistage, sentiers, cartes géographiques détournées : plasticiens et scientifiques ont exploré ensemble un ancien parc de chasse pour en livrer une exposition à Paris.

Baisser les yeux et se laisser porter par le murmure inaudible du monde, à la recherche de signes devenus indéchiffrables : l’exposition «Animer le paysage, sur la piste des vivants» du musée de la Chasse et de la Nature invite, sur le mode d’un jeu de piste interactif, à l’humilité. Son concept s’appuie sur la réflexion de longue date de Bruno Latour, sociologue, anthropologue et philosophe, sur la crise écologique et une vision«cosmopolitique» du monde, et le travail collectif d’artistes et scientifiques réunis au sein du SPEAP, programme d’expérimentations en arts politiques de Sciences-Po, fondé par le chercheur et dirigé par Frédérique Aït-Touati.

http://next.liberation.fr/arts/2017/07/30/les-ardennes-laboratoire-ecolo-artistique_1587161

 

 

Exposition –

Arles : une exposition sur la photographie documentaire

Foto Doc’ Collection propose jusqu’en septembre, une exposition sur la photographie documentaire, au travers des oeuvres de dix jeunes internationaux, représentés chacun par une galerie.

La fondation Manuel Rivera-Ortiz « Fotofever » présente « Foto Doc’Collection » durant les Rencontres d’Arles. Une dizaine de jeunes internationaux, mis en avant par leurs galeristes, témoignent du monde de manière artistique. Conflits, mouvements sociaux… Leurs photographies se déclinent dans la profondeur du documentaire.
Un style d’écriture visuelle que les galeristes hissent au niveau de l’art.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/bouches-du-rhone/arles/arles-exposition-photographie-documentaire-1304833.html

 

L’art contemporain africain selon Louis Vuitton

La Fondation Vuitton présente à Paris la collection Pigozzi, les artistes d’Afrique du Sud et une sélection de sa propre collection, un assemblage spectaculaire et hétéroclite

C’est une petite image, calme et fragile, dans cette énorme exposition où la plupart des œuvres se disputent la charge d’être plus grande et plus colorée que les autres, un plan rapproché sur des pieds qui marchent dans une poussière ocre. Le bas d’une robe ou d’un pantalon. Des chaussures précaires. Les voyageurs d’une file d’attente qui s’apprêtent à monter dans un bus. C’est Where Do I Begin? de Moshekwa Langa, une vidéo dont le titre est emprunté à un air de Shirley Bassey qui donne quelques mesures répétitives à la bande-son.

https://www.letemps.ch/culture/2017/07/30/lart-contemporain-africain-selon-louis-vuitton

 

 

Arts visuels –

VIIIes jeux de la francophonie/ arts visuels 3 questions à Remy Samuz médaillé d’or dans la catégorie sculpture

Vainqueur du concours de sculpture-installation dans la catégorie Arts visuels, Remy Samuz de son vrai nom Remy Sossoudji est un sculpteur béninois. Nous l’avons rencontré avant la proclamation des résultats.
Comment comprendre l’œuvre que vous présentez ?
Je l’ai intitulé ‘’je parle, tu parles’’. Une sculpture qui traduit la liberté d’expression. Nous sommes dans un continent en plein essor et chacun doit avoir son mot à dire. En le faisant chaque africain pourra ainsi apporter sa pierre à la construction de l’édifice.

http://news.abidjan.net/h/619658.html

La BCE investit dans l’art contemporain

La Banque centrale européenne soutient la jeune création artistique européenne. Sa collection compte plus de 400 oeuvres réalisées par 180 artistes.

L’actualité récente l’a montré : la politique monétaire est un art subtil. Mais ce n’est pas le seul auquel s’intéresse la Banque centrale européenne. Depuis plus de vingt ans, en effet, la BCE se construit une collection d’oeuvres contemporaines. Elle en compte plus de 400, réalisées par 180 artistes européens. Une démarche commencée avant même la création de la banque centrale. Dès 1994, l’Institut monétaire européen, qui préparait l’arrivée de la BCE, commence à acheter des oeuvres d’art. La pratique s’est institutionnalisée et deux curateurs veillent désormais sur les peintures, photographies et sculptures acquises au fil du temps par la Banque. Que des oeuvres contemporaines : la BCE étant une institution jeune, il paraissait logique qu’elle soutienne de jeunes artistes européens. Ces derniers sont issus des 28 pays de l’Union européenne, et pas seulement de la zone euro. Une façon d’incarner la réalité européenne et de véhiculer dans toute l’Europe l’image de mécène de l’institution de Francfort.

https://www.lesechos.fr/finance-marches/marches-financiers/030468646305-la-bce-investit-dans-lart-contemporain-2105225.php

 



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