avril 21st, 2017

Bush Lizard O´Magreena

 

Avec Sara Maurin Kane, Mathilda Haynes et Guillaume Marsault.

Chorégraphie : Sara Maurin Kane

Assistante chorégraphe : Mathilde Fortin

Clip écrit et réalisé par Laura Rembault.

Image : Vincent Margueritte
Prise de vue : Antoine Garcia, Vincent Margueritte et Laura Rembault
Assistante réalisatrice et scripte : Clémence Lacaille
Maquillage : Laurene Gardeux-Zanotti
Costumes : Nora Schwartz et La Cavalière
Montage : Thomas Estournel
Étalonnage : Sylvain Bérard
Prise de son et mixage : Nicolas Jean

 

Tous droits réservés Léon Productions.

 

 

 

 

 

 



avril 14th, 2017

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 Vous pouvez me contacter à l’adresse suivante : contact@saramaurinkane.com

 

 



avril 14th, 2017

« Institutionalized »

— Improvisation nº3 —

 

 

 



avril 14th, 2017

« Monster »

— Improvisation nº2 —

Explicit Content

 



avril 14th, 2017

« Roses »

— Improvisation nº1 —

 

I know it’s past visiting hours

But can I please give her these flowers?
The doctor don’t wanna take procedures
He claim my heart can’t take the anaesthesia
It’ll send her body into a seizure
That lil’ thing by the hospital bed, it’ll stop beepin
Hey chick, I’m at a loss for words
What do you say at this time? Remember when I was 9?
Tell her everything gon’ be fine, but I be lyin’
Her family cryin’, they want her to live, and she tryin’
I’m arguin like what kind of doctor can we fly in
You know the best medicine go to people that’s paid
If Magic Johnson got a cure for AIDS
And all the broke motherfuckers passed away
You telling me if my grandma’s in the NBA
Right now she’d be okay? But since she
Was just a secretary, worked for the church for 35 years
Things ‘sposed to stop right here
My grandfather tryin to pull it together, he’s strong
That’s where I get my confidence from
I asked the nurse « Did you do the research? »
She asked me, « Can you sign some t-shirts? »
Bitch, is you smokin reefer?
You don’t see that we hurt? But still
I, smile, when roses come to see me
And I, can’t wait for a sunny day (seeing it through your eyes)
Can’t wait for the clouds to break
They outside of the emergency room
You can feel my heartbeat, beat, beat
If she gon’ pull through, we gon’ find out soon
But right now she asleep, sleep, sleep
My momma say they say she could pass away any day
Hey chick, what these doctors know anyway?
Let me see the X-rays, I ain’t no expert, I’m just hurt
Cousin Kim took off of work
Plus my Aunt Shirley, Aunt Beverly, Aunt Clay and Aunt Jean
So many Aunties we could have an Auntie Team
Feel like Amerie, it’s just « One Thing »
When they said that she made it you see they eyes gleam
I think we at a all-time high
To get there, we run, we fly, we drive
Cause with my family we know we know where home is
And so instead of sendin flowers, we the roses
I, smile, when roses come to see me
And I, can’t wait for a sunny day (seeing it through your eyes)
Can’t wait for the clouds to break
It brings the sunshine, oh
I, smile, when roses come to see me
And I, can’t wait for a sunny day (seeing it through your eyes)
Can’t wait for the clouds to break
I, smile, when Rosey come to see me
And I’m sad, when Rosey goes away
Oh Rosey brings the sunshine (say)
Can’t wait, I can’t wait, no
Can’t wait, I can’t wait, no
Can’t wait, I, can’t wait
No, can’t wait, for, for a sunny day
Momma can’t wait, for the clouds to break
Mm mmm mm mm-mm mm-mm
Oh oh oh oh no no, say
Tellin’ you the truth now
Said I can’t wait, uh uh
I won’t wait, no
« Roses » – Kanye West

 



avril 14th, 2017

« Dansez les arts »

 

 

« Un voyage itinérant au coeur des villes, sur la trace des arts vivants »

A Dakar, six danseurs vivent en s’accrochant à leurs rêves.

 

Pour gagner sa vie, Baïdy est cuisinier le soir dans un fast-food clando de la banlieue dakaroise où il ne peut s’empêcher de krumper au son brouillé de la radio, sous la lumière crue des néons.

 

Bakari sert le café « Touba » au coin de la rue. C’est à la nuit tombée qu’il entre en transe aux rythmes Assiko des percussions, laissant rejaillir le passé de ses ancêtres.

 

Marie Agnès a choisi la danse pour exprimer ce que d’autres femmes subissent et taisent. Elle danse comme on se bat, puissante et déterminée dans chacun de ses mouvements.

 

Peter, le benjamin, est un jeune B.boy qui s’approprie les rues de la ville, les transformant en sa salle d’entrainement à ciel ouvert.

 

Pi quant à lui s’inspire du Sabar, une des danses traditionnelles sénégalaises, auquel il injecte les mouvements saccadés et précis du « Locking ».

 

Enfin Baye Dame danse sur les toits de la capitale au rythme de sa Kora et tente d’« Etre », tout simplement.

 

 

Pour chacun d’eux, aujourd’hui n’est pas un jour comme les autres.

 

C’est l’ouverture d’un laboratoire éphémère, établi dans une ancienne usine de biscuits, brute et poussiéreuse.

 

Pendant six jours, s’y déroulera une résidence artistique pour faire d’un patchwork d’idées, une oeuvre commune tissée par le fil de l’art.

Six danseurs, trois stylistes et un graffeur, travailleront ensemble sans limite ni contrainte. Une seule règle : « celui là je dois prendre de lui pour créer, il doit prendre de moi pour créer ».

 

 

A la Médina, quartier populaire de Dakar, les lampadaires scintillent sur le trottoir mouillé. Les danseurs sortent d’un taxi désossé et avancent ensemble sur la chaussée. La rue s’est arrêtée le temps d’une danse. Les femmes sont aux fenêtres, les mômes assis par terre et les taxis ont coupés leur moteur. Les regards intrigués se posent sur les corps qui s’animent et commencent à danser.

 

 

Dansez les arts est un film documentaire intimiste qui dévoile le message de ces artistes à la recherche constante de leur place au sein de la société.

 

 

Produit par Sara Maurin Kane

Coécrit par Sara Maurin Kane et Loïc Hoquet

Réalisé par Loïc Hoquet

 

Photographes : Beatrix Jourdan Meszoly, Fama Reyane Sow Sall, Antoine Tempé, et Sylvain Cherkaoui 

 

 



avril 14th, 2017

« Correspondance »

 

 

« L’Hôtel Général des Postes constitue le point focal de la Place Wilson.
De style Néo-Classique, il impose sa silhouette noble, fier de son riche passé.
Ses architectes, Annibale Carlo et Horace Grassi ont revisité avec maestria la rigueur, l’ordre et la symétrie hérités du Classicisme Français.

 

L’influence italienne se fait sentir dans l’introduction de motifs et de formes plus libres : guirlandes, rinceaux, vases, balustres ou statues qui adoucissent et épurent ce magnifique édifice.
A l’ombre des platanes qui bordent la Place Wilson, la contemplation de ce bâtiment nous plonge dans la Belle Époque.

 

Et l’on se prend à guetter la prochaine calèche dont descendra l’une de ces élégantes avec son ombrelle.

 

Le Wilson Plaza se conjugue au passé, présent, futur et s’accorde à tous les temps.

 

Il marie racines historiques, villégiatures contemporaines, et urbanisme visionnaire.
Comme à la Belle Époque, le Wilson Plaza se danse comme une valse à trois temps. »

 

Avant de revêtir ses habits de lumière et d’être métamorphosé en villas sur les toits et jardins d’hivers, le mythique Hôtel des Postes devra se défaire de ses entrailles, être démoli de l’intérieur pour, tel un Phoenix, renaître de ses cendres et devenir le Wilson Plaza.

 

Pour que rien ne se perde, rien ne s’oublie, tout se transforme et se révèle plus beau encore, laissons ces « ruines » devenir le lieu de retrouvailles d’un couple de danseurs découvrant d’anciennes correspondances témoins d’une transition entre passé et modernité.

 

Les corps se délieront dans les vieilles pièces murées de tapisserie; la musique raisonnera sous les charpentes du 19eme siècle pour raconter l’Amour au fil du temps et des époques.

Quand l’architecture, en mouvement et en devenir, se mêle aux arts vivants et visuels pour laisser une trace.

 

Production : Joseph et Laurent Salimpour

 

Direction artistique : Sara Maurin
Danseurs : Marie Pierre Genovèse, Jean Michel Egea (Diablo)

 

Musicien : Sébastien Chaumont, Fernando Alvès
Co-réalisatrice, monteuse : Sara Maurin
Co-réalisateur, cadreur : César Valentine
Directeur de la photographie : Julien Sanine
Preneur de son / monteur son : David Argi

 

 



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