juillet 16th, 2017
Danse –
Pendant l’été, le site de Danse Magazine vous propose de faire un point sur la moitié de l’année 2017 et sur les vacances des danseurs !
Cette semaine, Josua Hoffalt – danseur Etoile à l’Opéra de Paris – a bien voulu prendre le temps de répondre à nos questions.
https://www.dansermag.com/2017/07/15/ete-josua-hoffalt-etoile-a-lopera-de-paris/
Musique –
Parmi les raisons de l’attachement du public au festival international de Piano de La Roque d’Anthéron, ses lieux. « Leur point commun est leur connexion forte à la nature, des Carrières de Rognes à La Roque, aux soirées organisées au musée Granet… Quasiment tous nos concerts sont en plein air, dans un cadre somptueux« , commente René Martin. Cette année, le festival se fait urbain le temps de deux concerts d’exception à Marseille. Il ne déroge pourtant ni à sa tradition de plein air, ni à son exigence esthétique, en jetant son dévolu sur le théâtre Silvain et le toit-terrasse de la Friche la Belle-de-Mai.
Cinéma –
L’acteur français Patrick Dewaere s’est suicidé le 16 juillet 1982. Cette « gueule » du septième art est mort en pleine gloire. Trente-cinq ans après sa disparition, il est toujours considéré comme l’un des acteurs les plus doués de sa génération.
Alors que son premier long métrage documentaire vient de sortir sur les écrans hexagonaux, Vérane Frédiani a bien voulu répondre à nos questions. Depuis longtemps dans le milieu du cinéma, elle s’est enfin lancée à l’occasion d’un sujet qui lui tient particulièrement à cœur, étant à la fois une grande féministe et une grande mangeuse.
Exposition –
A Arles la galerie Manuel Rivera Ortiz accueille dans ses murs – un hôtel particulier du 17ème siècle niché au cœur de la ville – la collection Mazellier-Berrot dont l’infinie richesse compose un portrait intime de l’artiste. A voir jusqu’au 24 septembre.
Arts visuels –
C’est un événement éditorial: la revue Le Débat consacre un numéro spécial à la bande dessinée. Son ambition est d’arracher la BD au domaine enfantin pour la consacrer en tant que 9e art. Certes, depuis des décennies, éditeurs, organisateurs d’expositions ou le festival d’Angoulême n’ont pas ménagé leurs efforts pour hisser la BD au rang des autres arts visuels. Mais il manquait un ouvrage accessible, qui fasse la somme des apports multiples et diversifiés de la BD à la culture.
Pour faire profiter le public du maximum de pièces présentes dans sa riche collection, le musée d’art moderne de San Francisco a mis au point un système atypique. Toute personne qui envoie un SMS au numéro indiqué en précisant le type d’œuvre qu’il désire voir en reçoit une reproduction visuelle.
Comment procéder, en tant que musée, pour faire connaître le maximum d’œuvres au public quand on peut seulement exposer — au maximum — 5 % de ses 34 678 pièces ?